

Comment cuisiner le turbot ?
Le turbot est un poisson haut de gamme, souvent réservé aux repas de fête ou aux recettes gastronomiques. Sa chair épaisse et raffinée se prête parfaitement aux cuissons douces : au four, en vapeur ou même poché dans un court-bouillon aromatique. Il est excellent entier, simplement accompagné de pommes de terre vapeur, d’un beurre blanc, ou de quelques légumes de saison.
En filet, il peut être cuit à la poêle, côté peau, pour en préserver le moelleux. Il supporte bien les préparations plus élaborées, comme en croûte de sel, en papillote, ou façon meunière. L’essentiel est de ne pas trop le cuire pour conserver sa texture ferme mais fondante. Pour les amoureux du goût naturel, une cuisson basse température et un filet d’huile d’olive suffisent à sublimer ce poisson majestueux.
Quelle est la saison du turbot ?
Le turbot est particulièrement abondant et savoureux entre avril et août, période idéale pour le consommer frais et local.
Le turbot a-t-il des arêtes ?
Oui, comme la plupart des poissons plats, il possède une arête centrale et plusieurs petites arêtes latérales, faciles à retirer une fois cuit.
Turbot ou barbue : quelle différence ?
Le turbot a une peau plus rugueuse et une chair plus ferme que la barbue. Son goût est plus marqué, ce qui en fait un choix privilégié pour les plats gastronomiques.
Peut-on le congeler ?
Oui, le turbot peut être congelé, de préférence en filets. Il est conseillé de le consommer dans les 2 à 3 mois suivant la congélation.
Comment savoir si un turbot est frais ?
Un turbot frais a une chair ferme, une odeur iodée agréable, et des yeux clairs et brillants. Sur Pourdebon, il vous est livré ultra-frais, directement depuis la criée.
Le turbot est-il un poisson durable ?
Lorsqu’il est pêché de façon artisanale et en dehors des périodes de reproduction, le turbot est une option plus durable que d’autres espèces issues de la pêche intensive.