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Huitres Damerose
Coques - 2Kg

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Huitres Damerose
Coques - 500g

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Nous vous proposons des coques d'une fraîcheur incomparable, pêchées au rythme des marées par des pêcheurs et des conchyliculteurs français passionnés. En privilégiant le circuit court, nous garantissons non seulement une traçabilité parfaite de votre produit, mais aussi une juste rémunération de ceux qui travaillent dur pour nous offrir ces trésors de la mer. La coque est un fruit de mer prisé pour sa chair tendre et son goût iodé délicat, emblématique d'une cuisine de la mer simple et raffinée.
La saisonnalité des coques est un gage de qualité : elles sont généralement disponibles toute l'année, mais atteignent leur apogée en termes de saveur et de volume en automne et en hiver. En France, elles sont principalement récoltées sur les côtes de l'Atlantique et de la Manche. Nos pêcheurs utilisent des techniques de pêche respectueuses de l'environnement, souvent à pied ou avec un râteau, pour ne sélectionner que les plus belles. C'est ce savoir-faire artisanal qui assure une qualité premium, celle que vous retrouvez directement dans votre assiette, quelques heures seulement après la pêche.
Avant toute chose, l'étape cruciale pour apprécier pleinement vos coques est le nettoyage. Les coques sont des bivalves qui vivent enfouis dans le sable et peuvent en contenir une quantité non négligeable. Pour vous en débarrasser, placez-les dans un grand récipient d'eau très froide et très salée (environ 30 grammes de sel par litre, comme l'eau de mer). Laissez-les dégorger pendant au moins une à deux heures, voire plus, en changeant l'eau salée plusieurs fois. Vous pouvez également ajouter une cuillère à soupe de vinaigre blanc pour inciter les coques à rejeter le sable plus rapidement. Il est essentiel de les manipuler avec soin et de jeter celles qui sont ouvertes et qui ne se referment pas lorsque vous les tapez légèrement.
Côté variétés, bien que la coque la plus courante en France soit Cerastoderma edule, elle est parfois confondue avec sa cousine, la palourde. La distinction est pourtant simple : la coque a une coquille plus bombée, plus striée et souvent de couleur plus claire (gris-blanc), tandis que la palourde (Ruditapes ou Venerupis) est plus ovale, légèrement plus plate et sa coquille est plus épaisse avec des motifs concentriques plus marqués. En cuisine, les coques se prêtent à une multitude de recettes : un simple aller-retour à la poêle avec du beurre, de l'ail et du persil pour les ouvrir, ou intégrées dans un plat de linguine aux fruits de mer, à la persillade ou une marinière onctueuse. Elles s'ouvrent très vite à la chaleur, la cuisson doit donc être rapide, quelques minutes seulement, dès l'apparition des premières coquilles ouvertes.
La finesse de la coque appelle un vin capable de sublimer son goût iodé sans l'écraser. L'accord classique et toujours réussi est celui avec un vin blanc sec et vif, doté d'une belle minéralité. Optez pour un Muscadet Sèvre et Maine sur lie, un Sancerre, un Pouilly-Fumé de la Loire, ou un Bourgogne Aligoté. Leur fraîcheur citronnée tranchera parfaitement avec le côté salin du coquillage et la richesse éventuelle d'une sauce (à la crème, par exemple). Évitez les vins trop boisés ou trop puissants qui masqueraient la délicatesse de la chair.
Pour aller plus loin en cuisine, au-delà de la recette traditionnelle à la marinière, les coques se révèlent dans des préparations originales. Elles sont excellentes dans une soupe de poisson ou un velouté de légumes pour apporter une touche marine. N'hésitez pas à les marier avec des saveurs d'Asie : un bouillon de coques infusé au gingembre et à la citronnelle est une merveille. Enfin, le jus de cuisson des coques, souvent riche en saveur, est un trésor à ne pas jeter. Filtrez-le et utilisez-le comme base pour votre sauce ou pour mouiller un risotto.